indignité
Oui, ceci est un article indigne de moi, je le concède, shame on me, que j'aille brûler dans un jaccuzi dans un hôtel cinq étoiles à Cancuun.
Contrairement à toutes mes aspirations (liberté, rebelattitude, toussa) à propos de ce blog, j'ai cédé aux pressions sociales, a la société de consommation, à l'américanisation du moindre de nos actes: l'avis des autres m'importe (non, pas des roches à la gueule, ça fait mal).
Je vois dans vos petits yeux l'incompréhension: non, pas toi, Céline! Toi, tu te fous de ce que pensent les autres, comme Robert Cash, tu encules le bien-penser (pub subliminale, c'est fait).
Et ben non. Je voudrais savoir si ce que je fais est lu, quand même. Si c'est un peu apprécié. Si ça vous fait marrer tellement c'est con. Si vous trouvez mes petits écrits dignes d'une banane pourrie écrasée au pied d'un bananier et dédaignée par les agoutis. Si je vous hérisse les poils... Bref, votre avis m'importe (oui, je me fais honte à moi même).
(j'espère que ça se voit pas qu'en fait, je veux verifier si j'ai d'autres lecteurs que didus (hé) ramsounette (love) et aude parfois (luv))
Bref, magnifique lecteur qui m'honore de sa présence très régulière (hahaha), réponds dans les commentaires au petit questionnaire suivant. Ps: ne me fais pas avoir de faux espoirs en postant plusieurs commentaires sous diverses identités, j'ai ton adresse ip, et je te foutrai des virus au cul (c'est pas crédible, mais faites comme si, merci):
1) t'es qui?
2)On se connait?
3) kestu fais la?
4)on (je) t'a(i) forcé ou tu viens de ton plein gré?
5) et sinon, y'a des trucs que t'aime bien, ici?
6) tu voudrais me dire quoi, à moi, perso (les autres ils lisent pas, j'ai codé cette partie des commentaires)
7) hum hum... autre chose, a dire au reste du monde?
8) Alors, heureu(x)se?
Bon, allez faites pas vos chochottes. La mode est aux sondages de popularité. Je suis la mode, c'est tout.
Et pis toujours pour être fashion, j'écoute mes amis bep (oui, black eyes...), et pump it: cette chanson qui reprend l'instru de la bo de poulpe fiction. Je l'ai vu, poulpe fiction, d'ailleurs. C'est bof, j'ai trouvé, mais maintenant, je sais comment sauver quelqu'un qui fait une overdose. Y'a juste besoin d'une piqure d'adrénaline dans le thorax, le problème restant de savoir ou on achète de l'épinéphrine (pas fait deux ans de biochimie pour qued, moi).